Ce soir, je regarde le grand parc où se penchent
Les arbres centenaires aux couronnes d’argent
La lune se reflète au miroir de l’étang
Où tu dors, Ophélie, sur un radeau de branches.
Ce soir, j’aimerais tant me changer en esprit
Pour apaiser ton âme, et adoucir tes rêves
Et j’irai déposer à l’orée de tes lèvres
Un morceau de mon cœur pour te rendre la vie
(c) Musefabe 2006
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