Sais-tu Margot, qu’à mon réveil
Ce sont tes yeux que je verrai
Penchées sur moi, lèvres vermeilles
De leurs baisers m’abreuverai
Sais-tu Manon, que ton visage
Est en mon cœur douce pensée
Dit-on de moi, que fol ou sage
D’amour ne peut se contenter ?
Sais-tu ma muse, que vie durant
Pour toi j’irai sur les chemins
Quêter toujours plus noble chant
Pour oncques mériter ta main ?
(c) Musefabe 2007
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