C’est la nuit
Au loin, au delà du lac sombre, les lumières d’Evian qu’il n’a pas englouties
Offrent leur éclat triste de torches étouffées.
Au loin, les murailles formidables où s’accrochent de folles lueurs solitaires
Se mirent dans les vaguelettes impudiques.
Le silence se fait
Je reste là, à ma fenêtre, ne contemplant rien de particulier, ou plutôt tout, pour tout embrasser
(c) Musefabe 2006
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