Sur le vieux mur de pierre, au fond de mon jardin,
S’accrochent mes pensées tourmentées en corolles
Et s’agrippe le lierre en frêle barcarolle
Le chèvrefeuille pleure et répand son parfum
Les rayons du couchant vermillonnent le ciel
Et mes rêves s’envolent au dessus des rosiers
Où êtes vous ma mie, où peut on vous aimer ?
Le catalpa se fond en une humble aquarelle
Et le vieux mur de pierre, au fond de mon jardin
Devient l’immense toile où les amours rebelles
Ecriront tour à tour des pages immortelles
Abandonnant leur âme aux tourments du destin
(c) Musefabe 2005Le mur de pierre
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