M ontrez moi le chemin du repos de mon âme
I ndiquez moi demain, éradiquez mes peurs
R avivez dans mon sein le frisson du bonheur
A cceptez moi ainsi et que Dieu ne me blame
L es jours d’opale tissent de ma vie la trame
U ltimes Pénélopes au regard si fragile
T issez, mes jours, tissez, ne perdez pas le fil
Tissez comme les Parques et que Dieu ne me blame
N on, ne me jugez pas et regardez la flamme
E nfouie dans mon coeur comme une braise sombre
A ttisée par l’amour, elle naquit d’une ombre,
N ul ne la peut garder, et que Dieu ne me blame.
N égligeant les facheux, et les foules qui clament,
E sprits forts, conseillers, amis attentionnés,
L assé de les subir et de les écouter
A insi je m’en vais seul et que Dieu ne me blame.
D ans un mois, dans un an, je serai ton Tristan
Y solde ! Et notre vie s’affranchira du temps
(c) Musefabe 2006
Votre commentaire