J uste à l’heure où la vie, dans un bruissement d’ailes
U ltime, ouvrira tes grands yeux d’opaline
L aissant un goût de pêche en ta bouche mutine
I l te sera facile, ô tendre tourterelle,
E xquise et belle enfant, de mettre à tes genoux
T es parents attendris. A l’orée de tes jours,
T e voilà donc enfin, jeune fille d’amour
E t les muses déposent un baiser sur tes joues
(c) Musefabe 2006
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